C’est ce que demandent les collègues du collège de Dives-sur-Mer. Avec 250 élèves à la prochaine rentrée, ce collège est à quelques minutes de celui de Cabourg, qui est à moins de 200. Une fusion qui permettrait de mieux utiliser des moyens qui sont actuellement éparpillés paraît largement envisageable.
Malheureusement, l’arrivée prévue d’un collège privé dans le même périmètre, les calculs politiques des élus locaux, les vieilles rivalités historiques (entre Dives « l’ouvrière » et Cabourg « la bourgeoise ») risquent de geler la situation. Au détriment bien sûr des élèves.